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Cette page est la première consacrée aux anciens. Elles contiennent diverses informations sur la carrière et le parcours des anciens. Quelques photos sont incluses lorsque les anciens le désirent. Les interviews réalisées sont retranscrites petit à petit.

Je dois préciser ici qu'il était une fois un passionné atteint du virus Adret Electronique, l'auteur des pages du site. Pendant un an, je n'ai pas pu obtenir d'informations sur cette société.

Michel Martin m'a permit de démarrer le projet de sauvegarde de la société. Sans lui, rien n'aurait été possible. Il a été le facteur déclenchant permettant à ce projet d'aboutir. Il m'a aidé dans la retranscription de l'évolution de la société, il m'a donné du «matériel narratif» ainsi que des plans de mise en forme, des notices d'appareils, des informations techniques, des photographies des épisodes majeurs d'Adret Electronique comme le Salon des Composants Electroniques.

Il m'a permit de rencontrer des anciens comme Michel Gérard, Gérard Sauvage, Monique Métayer,...

Le forum Adret Electronique est l'idée de Michel Martin.

Je le remercie ici pour son soutien dans ce projet.

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Michel Martin

 

Michel Martin a été ingénieur technico-commercial de 1972 à 1990. il fut recruté par Roger Charbonnier.


Michel Martin nous raconta que les fondateurs Jean Royer et Roger Charbonnier avaient en charge, du temps de leur passage à Thomson, la conception de tachymètres (compte tours) pour mesurer la vitesse de rotation des turbines des avions de l’armée. Ce travail leur donna plus tard l'idée de concevoir des fréquencemètres. Ils prirent leur distance vis à vis de Thomson et c'est ainsi que naquit la société ROCHAR (contraction de ROyer et CHARbonnier).Quelques brevets furent déposés au nom de la société ROCHAR. L'électronique de l'époque était une électronique à tubes. Après la vente de ROCHAR à Schlumberger, Jean Royer et Roger Charbonnier n'avaient plus le droit de fabriquer des fréquencemètres. Un contrat de non-concurrence les liait à Schlumberger. Ils eurent alors l'idée de fabriquer des générateurs de fréquences. Ils s'installèrent dans une petite structure à Paris et embauchèrent quelques personnes à contrat à durée indéterminée comme Michel Gérard. C'est là que naquit le 201. c’est en revenant d’un séjour de vacances des Adrets que les fondateurs eurent l’idée de baptiser leur société ADRET. Mais cela ne voulait rien dire. Et la justification vint plus tard…En effet, quelque temps après, ils s’étaient rendus compte que l’Atelier de Recherches Electronique de Trappes pour ADRET était bien choisi ! En effet, l’entreprise était située à Trappes dans les Yvelines.

« – Quand on allait travailler chez ADRET, c’était par passion !»

raconte Michel Martin.

 


   

 

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Michel Martin est l'un des deux anciens à réaliser une collection d'anciens appareils Adret Electronique.

Ici un 6100...

 

Un 102, le premier étalon de tension créé par Adret en 1966...

 

un 201, l'un des premiers synthétiseurs conçus par Adret...

 

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Michel Martin est aussi un magicien : il restaure les anciens postes TSF à lampes. Sa collection est très impressionnante...

On peut le voir lors d'expositions relatives à ces appareils...

 

 

 

 

Quelques photos